Chansons 13 à 24 de Laurent Desvoux en 2013
12 CHANSONS DE LAURENT DESVOUX
CHANSONS 13 à 24 DE L'ANNEE 2013
POUR MISES EN MUSIQUE
ET INTERPRETATIONS
***
L’AVENIR FERA SON (COME BACK)
Quand entre les nuages
On mettra des hamacs
Quand on aura des sacs
Pour porter des orages
Quand on aura des lacs
Pour noyer nos images
Quand on aura des plaques
Pour des volcans plus sages
L’imagination des comptoirs / Aura pris le pouvoir / L’avenir fera son, l’avenir fera son come back / Et je verrai le soleil du soir / Dans le salon plier en deux le clic clac / Et tous les souvenirs sortir de l’armoire / Pour une chorale du tac au tac
Quand l’aube aux doigts de rose
Sera mise aux parfums
Quand on vaincra la faim
Grâce à des mini doses
Quand on dira enfin
De vivre il faut qu’on ose
Vivre à de justes fins
Comme à Rimaday Booz
L’imagination des comptoirs / Aura pris le pouvoir / L’avenir fera son, l’avenir fera son come back / Et je verrai le soleil du soir / Dans le salon plier en deux le clic clac / Et tous les souvenirs sortir de l’armoire / Pour une chorale du tac au tac
Quand entre les nuages
On mettra des lianes
Quand parmi les savanes
On fera douze nages
D’avoir ouvert les vannes
Des chansons et des pages
Quand les fleurs qui se fanent
Redeviendront bel âge
L’imagination des comptoirs / Aura pris le pouvoir / L’avenir fera son, l’avenir fera son come back / Et je verrai le soleil du soir / Dans le salon plier en deux le clic clac / Et tous les souvenirs sortir de l’armoire / Pour une chorale du tac au tac
L’imagination des comptoirs
« L’avenir fera son (come back) » Texte u940 de Laurent DESVOUX cote 795 614 8023 vers (8hexas + 7rf)x3 +3 avant 21h dans un café de Paris XIV rue Daguerre à Paris le samedi 27 avril 2013.
13e chanson de la 13e année du siècle et du millénaire.
NOUS TOUJOURS AMANTS RAMANT
Nous ramons tous les jours
Ô mon amour profonde
Comme est profonde l’onde
Comme est profond l’amour
Et le rêve est profus
Et l’espérance amère
Ce n’est pas de refus
De toucher ciel et Terre
Dans un monde qui se mondialise / Mon Bateau-ville de Rio et de Venise s’avise / Hors des canaux battus jusque / Des peaux et des poèmes d’océans / Etranges étraves étrusques / Que le soleil débusque / En plongeant lentement nous toujours amants ramant
Avons-nous tant ramé
Qu’autre chose impossible
Et sommes-nous la cible
De la rame à rimer
Par nos chansons qui rythment
Le cours d’efforts des heures
Avec toujours l’énigme
De ce qui rit et pleure
Dans un monde qui se mondialise / Mon Bateau-ville de Marseille et de Tamise s’avise / Hors des canaux battus jusque / Des peaux et des poèmes d’océans / Etranges étraves étrusques / Que le soleil débusque / En plongeant lentement nous toujours amants ramant
Poserons-nous les rames
Tout en vivant encor
Deviendrons-nous le corps
De plus joyeuses gammes
Le flot pâlit toujours
Par nos rames frappées
Et nous voguons amour
D’écume et d’épopée
Dans un monde qui se mondialise / Mon Bateau-ville de Hong Kong et de Parise s’avise / Hors des canaux battus jusque / Des peaux et des poèmes d’océans / Etranges étraves étrusques / Que le soleil débusque / En plongeant lentement nous toujours amants ramant
Nous toujours amants ramant
« Nous toujours amants ramant » Texte u944 de Laurent DESVOUX cote 689 345 1720 vers (8hexas +7rf)x3 +1 écrit le dimanche 28 avril 2013 PM. Refrain esquissé à L’Haÿ-les-Roses le 8 mars.
14e chanson de la 13e année du siècle et du millénaire.
MES US ET RITUELS
Tu me demandes quels / Sont mes us et rituels / C’est de pousser la ritournelle
Au tournant de la rue Tournelle
Lorsque tu l’entends elle
La vie la vie qui passe
Qui file file et trace
Et échappe à ma course
Moi le fileur des sources
Et le briseur des glaces
Tu me demandes quels / Sont mes us et rituels / C’est de pousser la ritournelle
A la station Bonne Nouvelle
Danser au quai du ciel
Traverser les affiches
Avec des rimes riches
Apporter de l’amour
Aux rames de secours
Où les destins se nichent
Tu me demandes quels / Sont mes us et rituels / C’est de pousser la ritournelle
Dans l’ascenseur d’la Tour Eiffel
Où les langues se mêlent
Comme un Babel Paris
Et tous les chats sourient
Sur les toits de lumières
Et l’Aube aux doigts poussière
Met du rose en nos gris
Tu me demandes quels / Sont mes us et rituels / C’est de pousser la ritournelle
Sur le pont qui mène à Javel
Mirabeau mirabelle
Courir après des ombres
Qui s’échappent en nombre
De la Seine éternelle
Avec des éclats sombres
Tu me demandes quels / Sont mes us et rituels / C’est de pousser la ritournelle
Au tournant de la rue Tournelle
Lorsque tu la vois elle
La vie la vie qui passe
« Mes us et rituels » Texte u946 de Laurent DESVOUX cote 610 254 7983 vers pairs (3rf + 7)x4 +6 écrit dans un café de la rue Daguerre à Paris, puis dans le RER francilien le lundi 29 avril 2013. Première strophe esquissée le 4 janvier sur le boulevard de mes villes à l’angle de la rue des Tournelles.
15e chanson de la 13e année du siècle et du millénaire.
POUR QUE LES GENS PUISSENT SE PROJETER
Personnalisez pas vos murs
Enlevez affiches, déco
Il faut pas des couleurs qui jurent
Et que soit sobre le lino
Ne mettez rien de politique
Et rien de religieux qui pique
Pour que les gens puissent se projeter / Comme dans un bon roman /
Et veulent acheter / Votre appartement
Que le héros soit pas trop beau
Pas trop costaud et pas trop fin
Mais on peut discuter ces points
Quand le public veut pas le faux
Qu’il y ait problèmes à résoudre
Sans inventer foudres ou poudres
Pour que les gens puissent se projeter / Comme dans un bon roman /
Vos ombres agitées / Sur l’écran en grand
Que sous les sièges soient glissés
Des parachutes efficaces
Lorsque l’avion va dévisser
Comme les deux ailes se cassent
Quand le moteur s’emballe et vibre
Et qu’il faut amortir l’air libre
Pour que les gens puissent se projeter / Comme dans un bon roman /
Et bras en l’air gagner / Le sol doucement
Vos défauts sont à camoufler
Quoique ce point soit discutable
Il vaut mieux parfois sur la table
Mettre son jeu de vérité
Pour qu’on puisse vous aimer vous
Et non une image trop floue
Pour que les gens puissent se projeter / Comme dans un bon roman /
Des bras pour enlacer / L’amour en l’aimant
Pour que les gens puissent se projeter / Comme dans un bon roman /
Soyez toile, araignée / Et huit bras géants
Soyez le moucheron qui vibre
L’abeille entourée par l’air libre
« Pour que les gens puissent se projeter » Texte u950 de Laurent DESVOUX cote 896 451 3072 vers pairs (6+4rf)x4 +6 écrit dans un café de la rue Rambuteau à Paris le mardi 30 avril 2013. Peaufiné le premier mai. Vers titre venu dans un bus de banlieue le 30, après un propos entendu dans une agence immobilière. 16e chanson de la 13e année du siècle et du millénaire.
AU CHANT DU MONDE
à Claude le jardinier avec qui j’ai parlé du thème
et à Jean Giono dont Le chant du monde a enchanté ma jeunesse
Pour exprimer notre joie d’être
Aux couleurs chaudes de la vie
Sur le pont ou à la fenêtre
Le chant alors n’est plus défi
Mais correspond à une envie
Au plaisir de vaste chorale
De l’humain et de l’animal
Pour que naisse un bel aujourd’hui !
Participons au chant du monde / Chantons chantons la nature abonde / Qui va, qui va et vagabonde / Chantons à nous sortir du sommeil / Chantons dès le lever du soleil / Comme les oiseaux du bonheur / Dès la première lueur
Par l’intensité lumineuse
Et la grandissante chaleur
Nos voix se fassent amoureuses
De la beauté du monde en fleurs
Quittons nos méchantes humeurs
A faire fête à ce grand livre
Dans la plénitude du vivre
A faire taire un temps nos peurs !
Participons au chant du monde / Chantons chantons la nature abonde / Qui va, qui va et vagabonde / Chantons à nous sortir du sommeil / Chantons dès le lever du soleil / Comme les oiseaux du bonheur / Dès la première lueur
Tous les oiseaux chantent ensemble
Faisant taire leurs différences
Les différents qui leur ressemblent
Pour chanter la vie en croissance
Comme en éveil sont tous nos sens
Ensemble chantons de bon cœur
Enfin une bonne rumeur
Au monde entier qui chante et danse !
Participons au chant du monde / Chantons chantons la nature abonde / Qui va, qui va et vagabonde / Chantons à nous sortir du sommeil / Chantons dès le lever du soleil / Comme les oiseaux du bonheur / Dès la première lueur
« Au chant du monde » Texte u953 de Laurent DESVOUX écrit dans le café « L’Estrapade » quartier Sainte-Eustache à Paris le mercredi premier mai 2013 en soirée. Refrain esquissé dans un pticafé de L’Haÿ-les-Roses AM. cote 096 485 7231 vers (8octos + 7rf)x3 + 1
17e chanson de la 13e année du siècle et du millénaire.
SEE YOU LETTER
Ce que j’en dis
Le bateau coule
A flots qui roulent
J’en fais récit
Quand le récif
Monde s’écroule
Aux vagues soules
Comme eau de vie
See you letter / In the bottle / Over the seas / Rues de mes villes /
Je vogue et file / Meet you later / En l’an trois mille
Un jour ou l’autre
Un an lointain
Un monde nôtre
Sera tout un
Si l’on se trouve
D’autre côté
Qui déjà couve
Comme un été
See you letter / In the bottle / Over the seas / Rues de mes villes /
Je vogue et file / Meet you later / En l’an trois mille
Peut-être comme
De simples mots
Autrefois hommes
A vingt chevaux
Mots dont l’écume
A fait mortelles
Consonnoyelles
Au cor de brume
See you letter / In the bottle / Over the seas / Rues de mes villes /
Je vogue et file / Meet you later / En l’an trois mille
See you letter see you later
«See you letter» Texte u960 de Laurent DESVOUX écrit dans le café « Le Petit Marcel » à Paris-Châtelet le vendredi 3 mai 2013. Refrain et premier couplet esquissés dans mes villes le 30 janvier. Cote 765 419 8302 vers (8octos + 7rf)x3 + 1 * 18e chanson de la 13e année du siècle et du millénaire.
IL SE PASSE TOUJOURS QUELQUE CHOSE
Il se passe toujours quelque chose / Au point nommé / L’Haÿ-les-Roses
Alors qu’à poing fermé
Dorment encor
Ses roses
Dont la Soleil d’or
De juin et de mai
Il se passe toujours quelque chose / Dans la trajectoire / Paris-Fontenay-aux-Roses
Au moins nos histoires
En vers ou en prose
Entre gens qui se sourient
Et qui semblent surpris
Par l’autre qui ose
Il se passe toujours quelque chose / Dans les espaces verts / De Mandres-les-Roses
En prose ou en vers
Lorsque les oiseaux
Chantent encor plus haut
Que le jardinier Hugo
S’accordant sa pause
Il se passe toujours quelque chose / Quelque chose qui bouge / A Collonges-les-Roses
Près Collonges-la-Rouge
Un type qui fait de grands gestes
En racontant les causes
De la guerre des Roses
Des Rouges et le reste
Il se passe toujours quelque chose / Au point nommé / Bagatelle-des-Roses
Alors qu’à poing ouvert
Rêvent déjà en vers
Ses proses
Dont la Reine Claire
Au cœur parfumé
Il se passe toujours quelque chose / A un certain point / Les roses
Ne dorment point
Dont la vie en rose
De mai et de juin
«Il se passe toujours quelque chose » Texte u961 de Laurent DESVOUX écrit dans les Transports franciliens (RER + bus transbanlieus’art) le vendredi 3 mai 2013. Première strophe esquissée à proximité de la Roseraie de L’Haÿ-les-Roses le 4 janvier. Cote 675 281 4953 vers 5x(1rf+7)+6 * 19e chanson de la 13e année du siècle et du millénaire.
A PROPOS DE VOS PASSIONS
A propos de vos passions / Ne dites plus addictions / Ça me met dans l’affliction /
Que cette confution / Vous n’êtes pas addict aux songs / Vous dansez en chaussongs en tongs / Avec dans la peau les chansons
On pourrait dire alors autant
Qu’on est toujours dans l’addiction
Face à l’espace comme au temps
Car on est toujours dépendant
Comme de l’air, de l’horizon
Comme de l’eau et des saisons
Autant dire qu’on est accros
A tous ces jours vieux et nouveaux
A propos de vos passions / Ne dites plus addictions / Ça me met dans l’affliction /
Que cette confution / Vous n’êtes pas addict aux songs / Vous dansez en chaussongs en tongs / Avec dans la peau les chansons
Vous êtes fan de liberté
Vous êtes épris de l’amour
Promoteur de fraternité
Joueur de guitare ou tambour
Vous avez chevillé au corps
Au cœur à l’âme la passion
Cette passion est un point fort
Vous êtes vivant et à fond
A propos de vos passions / Ne dites plus addictions / Ça me met dans l’affliction /
Que cette confution / Vous n’êtes pas addict aux songs / Vous dansez en chaussongs en tongs / Avec dans la peau les chansons
Accrochés d’accord à la vie
Sans nuire à autrui ou à soi
Avec la vanilleuse envie
De faire du mieux que l’on soit
Avec le possible partage
Des joyeux fruits de la passion
Et si ma chanson est trop sage
A l’amour fou j’en fais le don
Ne dites plus addictions…
« A propos de vos passions» Texte u963 de Laurent DESVOUX écrit dans un grand café banlieus’art le samedi 4 mai 2013. Refrain et premier couplet esquissés dans les Transports franciliens le 21 avril 2013. Cote 940 857 1362 vers (7rf + 8octos)x3 + 1 * 20e chanson de la 13e année du siècle et du millénaire.
SON ROMAN
Avant le paradis
Je fais des plans chouettes
Sur ma double comète
Pour un amour pardi
De ma chère Elodie
Ou de mon Emilie
Mérite mon pari
Si mon cœur balance / C’est que doublement / Il danse / Pour ces deux êtres charmants /
Sur cette balançoire / Mon amour en espoir / Compose son roman
Aujourd’hui c’est lundi
Que sera ma semaine
Et que sera ma vie
Entre la belle Hélène
Et Mélanie jolie
Vous me direz pourquoi
Je ne leur ai rien dit
A se moquer de moi ?
Si mon cœur balance / C’est que doublement / Il danse / Pour ces deux êtres charmants /
Sur cette balançoire / Mon amour en espoir / Compose son roman
Aujourd’hui c’est dimanche
Demain l’année prochaine
Comment l’amour s’enclenche
Entre ma dear Mylène
Et ma liebe Julie
Je ne sais qui choisir
Comme passe ma vie
A rêver de leur dire
Si mon cœur balance / C’est que doublement / Il danse / Pour ces deux êtres charmants /
Sur cette balançoire / Mon amour en espoir / Compose son roman
Compose ses romans
« Son roman » Texte u964 de Laurent DESVOUX écrit dans un café banlieus’art, puis dans un café parisien le samedi 4 mai 2013. Première strophe et refrain esquissés en marchant à Paris, puis dans le Tramway le dimanche 13 janvier. Cote 437 981 6502 Vers (8hexas + 7rf)x3 +1 21e chanson de l’an 13 du siècle et du millénaire
EVAILLEURS QUE DANS MES RËVES
J’ai rêvé que j’étais
L’Adam de ton Eden
Et que j’allais si près
Des jardins de la Seine
Que nous prenions le pont
Pour le Paradis proche
Que là où nous allions
Nous barrait une roche
Adieu ou revoir Eve / Un jour te reverrai-je / Evailleurs que dans mes rêves /
Sur la plage que sais-je / Dans la ville de neige / Par quelque conjonction /
D’evastres et d’horizons
J’ai rêvé d’un murmure
Qui viendrait de ta bouche
Souffler avec mesures
Je ne suis plus farouche
De marcher tous les deux
Sous la Lune aux étoiles
Essayer d’être heureux
Or tout bonheur cavale
Adieu ou revoir Eve / Un jour te reverrai-je / Evailleurs que dans mes rêves /
Sur la plage que sais-je / Dans la ville de neige / Par quelque conjonction /
D’evastres et d’horizons
J’ai rêvé que tu rêves
De nous que tu rejoins
Depuis le pays d’Eve
Jusqu’au pays sans foin
D’un amour éternel
De voluptueux calme
Qu’un présent renouvelle
De psaumes et de palmes
Adieu ou revoir Eve / Un jour te reverrai-je / Evailleurs que dans mes rêves /
Sur la plage que sais-je / Dans la ville de neige / Par quelque conjonction /
D’evastres et d’horizons
Evailleurs que dans mes rêves
« Evailleurs que dans mes rêves » Texte u965 de Laurent DESVOUX Ecrit en Île-de-France en banlieue et à Paris le samedi 4 mai 2013. Refrain esquissé les 5 et 6 mars. Cote 436 179 5082 Vers (8hexas + 7rf)x3 +1 * 22e chanson de l’an 13 du siècle et du millénaire
J’ATTENDS MINUIT
Ce qui n’est pas allé
Dans la drôle journée
Dans la drôle semaine
Dans la drôle d’année
Toutes les drôles peines
Refaisant le chemin
Mil chemins et enfin
Vison de frêle allée
D’azalées saccagés
J’attends minuit / Minuit et demi / Comme si je guettais mon ennemi / Alors que j’ai juste /
A m’abandonner / Au sommeil du juste / Dans les bras de Morphée et de ma fée
Je déroule le film
Du jour et des rencontres
Sur l’écran noir d’abîme
Où les moins et les contre
Sortent à pleins reliefs
Lors je refais le jour
Les actions, les discours
Et j’assure en sous-chef
J’attends minuit / Minuit et demi / Comme si je guettais mon ennemi / Alors que j’ai juste /
A m’abandonner / Au sommeil du juste / Dans les bras de Morphée et de ma fée
Tous les oiseaux du soir
Se sont tus, le silence
Règne presque une chance
Affleure à ma mémoire
Ce qui m’a contrarié
Remonte à la surface
Filmés, donc souriez
Si j’ai brisé la glace
J’attends minuit / Minuit et demi / Comme si je guettais mon ennemi / Alors que j’ai juste /
A m’abandonner / Au sommeil du juste / Dans les bras de Morphée et de ma fée
J’attends minuit
« J’attends minuit» Texte u966 de Laurent DESVOUX écrit à Paris Luxembourg le dimanche 5 mai 2013.
Refrain et premier couplet esquissés en rues et bus le 02.02.
Cote 749 853 1620 vers (8hexas + 7rf)x3 + 1
* 23e chanson de l’an 13 du siècle et du millénaire.
QUELQUE PART ÇA NOUS RASSURE
Cela nous rassure quand même
C’est mâtiné de je vous aime
Et tant pis si tout se transforme
Si c’est bien notre unique norme
Et toi qui te rends chaque jour
Dans les cafés le cœur moins lourd
D’entendre les chansons légères
Avec toujours les mêmes airs
Quelque part ça nous rassure / Ça nous rend le cœur léger / D’entendre encore c’est bien sûr / Les chansons de Michel Berger / Qui toujours nous susurre / Nous rendant l’heure moins dure / Et puisque rien ne dure
Le chanteur mort depuis longtemps
Ah ses amours mouvementées
Alors quelle pérennité
Ce sont chansons qui sont le vent
Et le murmure de la vie
Les sensations et les frissons
Le passage d’un aujourd’hui
Le passage de nos chansons
Quelque part ça nous rassure / Ça nous rend le cœur léger / D’entendre encore c’est bien sûr / Les chansons de Michel Berger / Qui toujours nous susurre / Nous rendant l’heure moins dure / Et puisque rien ne dure
La seule chose qui ne change
C’est que tout change et que tout passe
Et si chaque jour tu repasses
Par la Seine c’est Pont-au-Change
Et quant au Pont d’Apollinaire
Tu y retournes à plaisir
A plaisir ajustant des vers
Et trempant dans le temps ta lyre
Quelque part ça nous rassure / Ça nous rend le cœur léger / D’entendre encore c’est bien sûr / Les chansons de Michel Berger / Qui toujours nous susurre / Nous rendant l’heure moins dure / Et puisque rien ne dure
« Quelque part ça nous rassure » Texte u968 de Laurent DESVOUX écrit dans un pticafé banlieus’art francilien le mardi 7 mai 2013. Refrain esquissé dans les rues de mes villes le 6 mars. Cote 097 256 3481 Vers(8octos + 7rfde6à8)x3 +1 * 24e chanson de l’an 13 du siècle et du millénaire.