Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
CHANSONS ET SONNETS ESTRAMBOTS par L3D
2 juin 2012

12 chansons de Desvoux de 2009 à mettre en musique


                   12 CHANSONS DE 2009

                 ET DE LAURENT DESVOUX

 

(choix de 12 chansons sur 65 écrites en 2009)

 

DES PAROLES DE CHANSONS

                             CHERCHANT MUSIQUES ET VOIX

CONTACT LAURENT DESVOUX        avpoaimer@yahoo.fr

 

*


DANS LE DEMI-JOUR

 

J’étais coureur de demi fond

Je me croyais un demi-dieu

Chaussé de bottes de sept lieues

Par-dessus l’abîme profond

Par-dessus l’abîme profond

 

Je traverse l’espace immense

Par monts, par vaux et par chemins

Les arbres sont comme des lances

Et leur écorce un parchemin

Et leur écorce un parchemin

 

Je marche dans le demi-jour / Je ne fais choses à moitié / Je dévore l’espace entier / Pour aller trouver mon amour / Pour aller trouver mon amour

 

Amour amour où donc es-tu

Comme recule l’horizon

Et que dans les sentiers battus

Se dérobe notre maison

Se dérobe notre maison

 

Je ne ferai pas demi-tour

Avant l’aube de découverte

Du beau soleil de mon amour

Et l’ogre lancera l’alerte

Et l’ogre lancera l’alerte

 

Je marche dans le demi-jour / Je ne fais choses à moitié / Je dévore l’espace entier / Pour aller trouver mon amour / Pour aller trouver mon amour

 

A deviser de l’avenir

Nous construisons espace et temps

Nous en dirions en dirions tant

Que pourrait dire le Désir

Que pourrait dire le Désir

 

J’étais coureur de demi fond

Mais je regarde les étoiles

Qu’il y a dans ses yeux profonds

Ma course est à la verticale

Ma course est à la verticale

 

Je marche dans le demi-jour / Je ne fais choses à moitié / Je dévore l’espace entier / Pour aller trouver mon amour / Pour aller trouver mon amour

 

«Dans le demi-jour» Laurent DESVOUX Texte 19 079  cote 453 679 1820  vers ((5+5)+5)x3

Écrit dans un bus vers Paris, puis dans un  café banlieus’art d’Île-de-France le 10 février 2009.

Quelques vers esquissés en marchant dans une rue de ma ville le 8.

 

*

 

JE GRAPHE TON NOM

 

« Sur la vitre des surprises » Paul Eluard

Sur les amours de circonstances

Sur les murmures et les stances

Sur les murs de la résidence

Sur les morts de la résistance

Sur tous les chemins et les danses

 

Sur les perdus bagages

Sur les lointains voyages

Sur les avions dans les nuages

Sur les bateaux et leur sillage

Sur les trente mille villages

 

Je graphe ton nom / J’en fais de la beauté / De tous tes oui de tous tes non /

 J’en fais renom / Ô Liberté

 

Sur les pastiches et les suites

Sur les soleils en fuite

Sur les raquettes des Inuits

Sur les images trop cuites

Sur les drôles de conduites

 

Sur les barreaux et les barrières

Sur les affiches à la lumière

Sur les vitres au lieu de pierres

Sur les mots à découvert

Sur les oubliés de la Terre

 

Je graphe ton nom / J’en fais de la beauté / De tous tes oui de tous tes non /

 J’en fais renom / Ô Liberté

 

Sur la lenteur du bonheur

Sur le langage des fleurs

Sur les saules qui rient ou pleurent

Sur les coups de la douzième heure

Sur l’insistance des malheurs

 

Sur les murs de circonstances

Sur les amours d’importance

Sur les murmures et les transes

Sur les mires de la résidence

Sur les mots de la résistance

 

Je graphe ton nom / J’en fais de la beauté / De tous tes oui de tous tes non /

 J’en fais renom / Ô Liberté

 

«Je graphe ton nom» Laurent DESVOUX Texte 19  212 cote  281 964 5730 vers (5+5+5)x3

Écrit dans un café de Paris puis dans un café de Bourg-la-Reine en Île-de-France le lundi 27 avril 2009.

Peaufiné le 30.

*

 

COMME UN COQUELICOT QUI DOUTE

 

Comme un coquelicot qui doute / Et frissonne au bord de la route /

Qui voudrait que quelqu’un l’écoute / Comme un écho coûte que coûte

Je m’interroge sur la vie

Je me demande qui je suis

La passion me fait rougir

Je ne sais ce que je désire

Qui ait couleur de l’absolu

Moi j’étreindrai le monde nu

Qu’un bon vent puisse m’emporter

Plus loin que les jours de l’été

Que je renaisse dans l’automne

Comme un parfum qui claque et sonne

 

Comme un coquelicot qui doute / Et frissonne au bord de la route /

Qui voudrait que quelqu’un l’écoute / Comme un écho coûte que coûte

Regardant passer les camions

Les voitures et les avions

Je lève fièrement la tête

Voulant marcher pour une quête

Au bout du chemin le trésor

Que ce ne soit pas que la mort

Mais un infini qui se lève

Et plus grand même que mes rêves

Un infini qui soit l’amour

Toutes les vibrations du jour

 

Comme un coquelicot qui doute / Et frissonne au bord de la route /

Qui voudrait que quelqu’un l’écoute / Comme un écho coûte que coûte

Et je frissonne et je frissonne

Dans cette saison qui me donne

D’être sur une parcelle

Petit soleil ou étincelle

Et je veux me mettre en chemin

Que le chemin se fasse mains

Pour rencontrer quelques vivants

Qu’emporte aussi plus loin le vent

Dans les quatre coins à dissoudre

Par un souffle ou un coup de foudre

 

Je frissonne au bord de la route

Je voudrais que quelqu’un m’écoute

Comme un écho coûte que coûte

 

«Comme un coquelicot qui doute» Laurent DESVOUX Texte 19 279  cote  496 573 1802 vers (4+10)x3 + 3

Écrit dans un bus transbanlieus’art puis dans un café de Bourg-la-Reine le dimanche 31 mai 2009.

2 vers du refrain dans une rue de ma ville le 30 d’après une chose vue.

 

*

 

CE MOBILE APPARENT

 

Ce mobile apparent

Pour montrer qu’on sait

Audio communiquer

Dans la rue ou un quai

Et cette voix très forte

Et cette voix qui porte

Sans porte et sans fenêtre

Bien être ou mal être

Sa tribu que l’on porte

En soi comme une escorte

 

Ce mobile apparent

Pour rentrer dans le rang

Du groupe qui vous prend

Ce multiple instrument

Avec son bel écran

Avec tant de fonctions

D’images et de sons

Comme cela vous rend

Le sourire plus grand

Que la mode et le temps

 

Ce mobile apparent

Dès qu’on attend un bus

Dès qu’on attend un gusse

Qu’on veut avoir l’air plus

Occupé qu’un Russe

On a des locuteurs

Quelle que soit l’heure

Quel que soit l’endroit

De la com et de la puce

On est la reine le roi

 

Ce mobile apparent

Celui qu’est dans le vent

Que l’on va exhibant

Tatouage vocal

Qui pleure sonne et râle

Appelant tout le temps

Bébé frère parent

Qui fait croire qu’on n’est pas

Seul avec ses émois

Seul alors qu’on y va

 

Ce mobile apparent

Que faisiez-vous à midi

A quinze heures à minuit

Moi je communiquai

Dans cette foule sur ce quai

 

«Ce mobile apparent» Laurent DESVOUX Texte 19 331  cote 846 795 1032  vers 4x10 +5

Écrit dans un café banlieus’art d’Île-de-France le 8 juillet 2009.

Quelques vers dans le RER le 2 juin. Refrain dans une rue de ma ville le 5 mai.

 

*

 

LE MONDE ENFIN NOTRE

 

Nous sommes les vagues des océans

Nous pourrions quelque chose de géant

Nous pourrions faire table rase

De tous nos continents

Nous pourrions aux ailes de Pégase

Assembler tous nos éléments

Pour que le monde soit battant

De tous nos cœurs de tous nos cœurs

Et que ce monde soit meilleur

Je ne rêve pas d’un autre monde / Mais du monde enfin nôtre /

Et mon rêve se fonde / Sur moi et toi et tous les autres / Le monde enfin nôtre

 

Nous sommes le sel de la terre

Pour faire des arbres de lumière

Nous sommes le sable des plages

Pour les infinis rivages

De tous nos grains réunis

Nous formons l’immense vie

Etonnante commune force

Pour demain et pour l’amorce

D’un avenir solidaire

Où ménager le chou et l’air

Je ne rêve pas d’un autre monde / Mais du monde enfin nôtre /

Et mon rêve se fonde / Sur moi et toi et tous les autres / Le monde enfin nôtre

 

Nous sommes le meilleur et le pire

Ensemble amis et ennemis

Nous pouvons bâtir des empires

Sur des champs de bataille en semis

Nous pouvons tout, tout détruire

Nous pouvons tout consolider

Favoriser une harmonie

A nous tous nous pouvons aider

Au règne de la paix, de la vie

Par notre amour et nos idées

Je ne rêve pas d’un autre monde / Mais du monde enfin nôtre /

Et mon rêve se fonde / Sur moi et toi et tous les autres / Le monde enfin nôtre

 

« Le monde enfin nôtre » Laurent DESVOUX Texte 19 505 cote 869 471 5302 vers (10+5)x3

Ecrit dans un café de banlieue le lundi 7 septembre 2009. Peaufiné le 9.

Commencé à 1 arrêt de bus en banlieue le 4 août.

 

*

 

QU’ELLE EST MON SOLEIL

 

Comment m’entendrait-elle

La belle

A cette heure

Lui dire qu’elle est mon soleil

Elle a son baladeur

Au creux des oreilles

 

Comment me verrait-elle

La belle

A cette heure

Elle a des lunettes de soleil

Dans l’ascenseur

Et m’écrase les orteils

 

Comment m’entendrait-elle

La belle

A cette heure

Lui dire qu’elle est Lune et Vénus

Elle fait chauffer le moteur

De son autobus

 

Comment me verrait-elle

La belle

A cette heure

Elle a fermé le volet

De son cœur

Qui s’envolait

 

Comment m’entendrait-elle

La belle

A cette heure

Lui dire que mon amour éclôt

Elle fait chauffer le moteur

De son hélico

 

Lui dire qu’elle est mon soleil

Elle a son baladeur

Au creux des oreilles

 

«  Qu’elle est mon soleil » Laurent DESVOUX Texte 19 519 cote 348 617 9502 vers (3+3)x7+3

Ecrit à Paris Porte d’Italie le 16 septembre 2009.

Quelques vers esquissés la veille en banlieue.

 

*

 

COMME DES RAMES

 

Pour l’autre satisfaire

On rame on rame on rame

Lune Soleil et Terre

On se pâme on se pâme

Océan des désirs

Aux imaginatifs

Le ruisseau du plaisir

Cursif et vif et vif

 

Le désir des hommes / Et le désir des femmes / Sont amenés /

A se croiser / Comme / Des rames

 

Est-ce qu’on veut séduire

Est-ce qu’on veut étreindre

Etre saisi(e ) saisir 

Se faire en douceur plaindre

Etre réconforté(e )

Irait-on jusqu’à feindre

Cherche-t-on la beauté

L’intelligence à poindre

 

Le désir des hommes / Et le désir des femmes / Sont amenés /

A se croiser / Comme / Des rames

 

Pour plaire et pour ravir

On rame on rame on rame

L’amour c’est de la cire

Qui fond et c’est le drame

Tantôt la comédie

Et tantôt le sésame

Un rire en mélodie

Quand aimer fait des gammes

 

Le désir des hommes / Et le désir des femmes / Sont amenés /

A se croiser / Comme / Des rames

 

Comme / Des rames / Les hommes et les femmes

 

« Comme des rames » Laurent DESVOUX Texte 19 539 cote 348 506 7912 vers(8hex + 6rf)x3 + 3

Ecrit dans les Transports parisiens, puis le café Le Rostand à Paris

 le jeudi premier octobre 2009. Quelques vers en marchant et en chantant

 dans des rues de Bourg-la-Reine le jour même.

 

 

*

 

LE PRÉSENT AILLEURS

 

La grenouille qui saute

Dans un étang son hôte

Un jeune cerf qui brame

Tout en faisant ses gammes

La corneille qui passe

Qui croasse croasse

Mais où est le sésame ?

 

Aux sons / De nos saisons / Mortes / Qu’emporte / Le présent ailleurs / Railleur /

 Or j’ai des rêves meilleurs / Des rêves en cohorte

 

Une pierre qui tombe

Qu’éraflent les colombes

Un appel dans la nuit

Que le silence suit

Dans l’ombre quelqu’un pleure

Et sa peine demeure

Comme l’autre s’enfuit

 

Aux sons / De nos saisons / Mortes / Qu’emporte / Le présent ailleurs / Railleur /

 Or j’ai des rêves meilleurs / Des rêves en cohorte

 

Un souvenir qui plonge

Et le fleuve le ronge

Passage d’une rame

Un nom que l’on réclame

Un marteau sur un clou

Un crissement de roues

Mais où est le sésame ?

 

Aux sons / De nos saisons / Mortes / Qu’emporte / Le présent ailleurs / Railleur /

 Or j’ai des rêves meilleurs / Des rêves en cohorte

 

«Le présent ailleurs » Laurent DESVOUX Texte 19 571  cote  975 684 1302 vers (7hex + 8rf)x3 +

Écrit dans un café banlieus’art d’Île-de-France le mardi 27 octobre 2009.

Quelques vers esquissés dans le Parc de la Roseraie le 26 août.

 

 

*

 

OU EST LE MATIN ?

 

Où est le matin

Hors des draps

Dans cette nuit qui me retient

Dans ses bras

Dans ses bras câlins

Où est le matin ?

 

Où est le grand jour

A la fenêtre

Dans cette nuit pour notre amour

A renaître

Nos voix de secours

Où est le grand jour ?

 

Où est la lumière

Dans la douceur

A chanter plus suave et plus claire

J’attends l’heure

Du jour sur la Terre

Où est la lumière ?

 

Où est l’espérance

Encore à poindre

Qu’on va cueillir comme une chance

Mais pas à feindre

Dans la bonne séquence

Où est l’espérance ?

 

Où est le destin

Favorable

Dans ces larmes que je retiens

C’est probable

Pour vivre au matin

Où est le destin ?

 

Où est le matin

Par les rues

Dans cette nuit qui me retient

Le sais-tu

Dans tes bras câlins

Où est le matin ?

 

Où est le grand jour

Lettre après lettre

Dans l’encre d’or de notre amour

A paraître

Nos cieux de secours

Où est le grand jour ?

 

Où est le matin / A la fin / Dans cette nuit qui nous retient ?

 

«Où est le matin» Laurent DESVOUX Texte 19 585  cote 794 531 6082  vers (6x7) + 3

Écrit dans deux cafés dont le Rostand à Paris VIe  le premier novembre 2009, jour de la Toussaint.

Premiers vers venus à Paris les 8 et 15 mai, puis dans un café restaurant libanais en banlieue le 12 septembre.

 

*

 

L’AMOUR A

 

Je cours, je m’affole

Le sol est contre

Je cours, je décolle

Contre la montre

Je cours et je vole

A ta rencontre

De long

En large

Dans tes marges

Nous écrivons

L’amour qui va / L’amour qui tremble / L’amour qui va l’amble /

L’amour A / L’amour avec un mât / L’amour avec un toit

 

Que le vent me porte

Ou pas

Je cours vers toi

Jusqu’à ta porte

Que les gens m’interpellent

Ou non

Je te rejoins, ma belle

Pour ensemble jouer

Pour ensemble louer

Un amour profond

L’amour qui va / L’amour qui tremble / L’amour qui va l’amble /

L’amour A / L’amour avec un mât / L’amour avec un toit

 

Je m’affole, je cours

Le sol est contre

Je décolle ce jour

Contre la montre

Tu voles à ton tour

A ma rencontre

Au rendez-vous d’amour

L’amour qui va / L’amour qui tremble / L’amour qui va l’amble /

L’amour A / L’amour avec un mât / L’amour avec un toit

 

« L’amour A » Laurent DESVOUX Texte 19 588  cote 365 471 9082  vers (10+6rf)x2 + (7+6rf)

Écrit dans un petit café banlieus’art d’Île-de-France le mardi 3 novembre 2009.

Peaufiné « alâmaison et alordinateur » le soir même.

Premiers vers esquissés en marchant dans une rue de ma ville le 13 août, puis le 31 octobre.

 

*

 

C’EST L’ÉTÉ C’EST L’ÉTUVE

 

J’écris pendant l’automne

Cette chanson d’été

Et je veux qu’elle sonne

Pour que tu l’aies chanté

Dans l’infinie grisaille

Je repense à du bleu

A des soirées de paille

De sable aux jours heureux

Et tout chaud je tressaille

 

C’est l’été / C’est l’étuve / Qu’est-ce qu’on buve / Si o n n’a rien apporté /

Y a comme des effluves / De jus fruité

 

Je veux goûter l’été

Viens danser avec moi

On pourrait s’éclater

Au moins pendant deux mois

Le soleil au zénith

Nous invite aux lunettes

L’été à l’heure dite

Nous apporte ses fêtes

Et c’est toi que j’invite

 

C’est l’été / C’est l’étuve / Qu’est-ce qu’on buve / Si o n n’a rien apporté /

Y a comme des effluves / De jus fruité

 

J’écris après l’été

Cette chanson de vigne

On ne peut arrêter

Le temps qui nous fait signe

Viendra bien le retour

Des journées sur les plages

Le retour des beaux jours

Et je tourne les pages

Des albums de secours

 

C’est l’été / C’est l’étuve / Qu’est-ce qu’on buve / Si o n n’a rien apporté /

Y a comme des effluves / De jus fruité

 

«C’est l’été c’est l’étuve» Laurent DESVOUX Texte 19 589  cote 708 561 4932  vers (9+6rf)x3

Écrit dans 2 cafés, l’un banlieus’art, l’autre parisien les 3 et 4 novembre 2009.

Refrain esquissé le 30 mai, puis les 6 et 7 juillet.

 

*

 

L’HYMNE DES VOISINS

 

La fête des voisins

La fête des voisines

Les autres et les uns

Sortez de vos cuisines

Sortez de vos salons

Sortez de vos télés

Reprenez la chanson

Pour ensemble danser

Ensemble sur le pont

 

Sur le residance floor / Résidanse, résidansons / Etes-vous d’accord /

Résidansez cette chanson / Avec l’esprit et le corps / Sur le residance floor

 

Certains font les sardines

D’autres font les saucisses

Les voisins les voisines

Dinent par lots de dix

Il y a le boute-en-train

Qui enflamme la piste

On fait le petit train

Le boute-en-train insiste

On y met de l’entrain

 

Sur le residance floor / Résidanse, résidansons / Etes-vous d’accord /

Résidansez cette chanson / Avec l’esprit et le corps / Sur le residance floor

 

C’est l’hymne des voisins

C’est l’hymne des voisines

On partage le pain

Et les blagues sont fines

On prie pour que le temps

Se maintienne il hésite

On se parle en mangeant

Vous êtes au dix-huit

On se parle en chantant

 

Sur le residance floor / Résidanse, résidansons / Etes-vous d’accord /

Résidansez cette chanson / Avec l’esprit et le corps / Sur le residance floor

 

«L’hymne des voisins» Laurent DESVOUX Texte 19 590  cote 806 475 1932  vers (4hexa +5hexa +6rf)x3

Écrit dans deux cafés d’Île-de-France les 30 mai et 4 novembre 2009.

 

Publicité
Publicité
Commentaires
CHANSONS ET SONNETS ESTRAMBOTS par L3D
  • Des paroles de chansons composées par Laurent Desvoux, pour trouver des musiciens et des chanteurs, un choix de 12 chansons par année de composition sur un total de presque 2000 chansons, objet d'un dépôt à la SACEM. Sonnets estrambots ont pris le relais !
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 1 354
Publicité